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Sortir de l’image d’Épinal de la plage sans perdre ni le sens, ni le sentiment. Continuer de permettre l’appropriation de cet espace éphémère par les visiteurs de tout horizon. En bref, que Paris Plages fasse peau neuve sans y perdre son âme.
La plage à Paris, c’est une utopie d’espace public et non pas une anecdote. Et pourtant on se lasse du décor, on en veut toujours plus, plus de place, plus d’activités, plus de culture, on veut que ça change tout en gardant ses habitudes.
Le sentiment de vacances sur Paris Plages ne tient plus aux rayures blanches et bleues, mais à « l’échappée belle » que propose un ensemble de signes et de symboles, de confort, d’activités et d’usage.
Alors la plage… ? ! Oui, toujours et encore, non plus la plage des années 30 et des congés payés, mais des plages comme autant de surfaces délimitées, comme autant de laps de temps donnés, pour rêver, s‘échapper, partager, découvrir la ville autrement, pour de nouveaux usages. Des « plages d’espace et de temps » qui transforment le visiteur en « être vacant », en vacancier.
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Après deux ans de recherche avec l’équipe de la Voirie et des Déplacements Parisien, voici le premier plan vélo de Paris.
Ce projet est le résultat d’un travail qui a rassemblé des compétences diverses : ergonome, architecte, urbaniste, sociologue, graphiste et scénographe. La volonté à été de travailler à partir des codes des plans de réseau type métro/bus pour garder la force visuelle et signifiante acquise par le grand public. La contrainte a été de créer des relais de destination sur chacun des parcours correspondant à la pratique ergonomique du vélo : distance, visibilité.
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